La commission de sélection de la fédération Française de Taekwondo (FFTDA) a retenu les athlètes suivants pour faire partie de l’équipe de France Technique et prendre part les 21 et 22 mais 2011 au Championnat d’Europe en Italie à Gènes :
La ville de Gènes en Italie a accueilli cette année les Championnats d'Europe Technique (Poomsé) de Taekwondo
Juniors :
Le Thi-Bich-Phan Caroline
Hmissi Nizar
Senior 1 Parroche Katia
Le Julien
Senior 2 Ngo Su-Heng
Master 1 Rouquié Sylvie
Nguyen Ngoc-Thanh
Master 2 Bour Jean-Marie
Equipe féminine – 36 Le Thi-Bich-Phan Caroline / Parroche Katia / Phan Thanh Hoang-Van
Equipe masculine – 36
Hmissi Nizar / Le Julien / Sicot David
Equipe paire – 36 Phan Thanh Hoang-Van / Hmissi Nizar Equipe paire + 36 Rouquié Sylvie / Bour Jean-Marie
Coachs – Huo Yung Kaï Vipaul
– Nguyen Ba-Thanh
Voici les résultats obtenus par l’équipe de France Technique :
Julien Le Van Phong, Champion d'Europe Poomsé (Taekwondo Technique)
Les passages de ceintures de couleurs s’effectuent au rythme et au bon vouloir de l’enseignant.
La fédération donne à titre indicatif des temps pour passer un grade supérieur, mais dans chaque club cela peut être différents.
En effet, les passages de grades (sim sa) de la ceinture blanche à la ceinture rouge deux barrettes noires sont sous la direction du maitre ou de l’enseignant au sein du club.
La fédération Française de Taekwondo (FFTDA) impose un minimum de 3 licences (3 ans) avant d’avoir le droit de se présenter au test du passage de grade pour obtenir la ceinture noire 1er dan. Avant de passer des « dans » (pour les ceintures noires), le pratiquant doit passer des « Keups » (pour les ceintures de couleurs).
Les différents grades sont des représentations du niveau de connaissance du pratiquant dans l’art martial… Mais puisque cela dépend du professeur, le niveau est assez subjectif car chaque éducateur n’aura pas les mêmes exigences ou les même ambitions envers l’apprenti.
La fameuse ceinture noire est bien trop souvent le seul but recherché par les pratiquants, alors que ce n’est que le début d’un long apprentissage.
Les couleurs de ceintures sont donc propres au club auquel nous appartenons et le niveau de connaissance technique du pratiquant peut largement varié d’un club à un autre. Il faut donc voir la couleur de ceinture de façon indicative uniquement.
Cette différence existe toujours malgré tout après la ceinture noire, même si, là, le grade est proposé pour validation par une commission Régional ou National avec un jury de 3 gradés et non plus un club.
En effet, c’est un organisme spécialisé qui gère cette partie (l’attribution d’un Dan) : la CSDGE (Commission Spécialisée des Dans Grades et Équivalents).
La CSDGE est une commission instituée par la loi du 16 juillet 1984 modifiée. Les membres sont validés par l’État via le Ministère des Sports après une soumission des membres possibles par la fédération en question. L’État délègue donc le pouvoir d’attribution des Dans aux fédérations délégataires mais garde ainsi un contrôle et un droit de regard.
De façon générale, le rythme de changement de couleur de ceinture dans un club de Taekwondo est de 1 à 2 passages de grade par an. Cela nous conduit à une moyenne de 5 ans afin d’obtenir un 1er dan. Par ailleurs, il n’en faut pas moins pour absorber le minimum requis pour avoir connaissance des bases de l’art martial.
Il y a beaucoup moins de ceintures pour les adultes, mais il reste les barrettes à chaque niveau. Là encore ce n’est qu’à titre indicatif et proposé par la Fédération. Les couleurs de ceintures sont également interne au club et peuvent alors variées d’un club à un autre.Le nombre de ceintures pour les enfants est plus nombreux afin de permettre une progression adaptée au rythme des plus jeunes sans les décourager.
Ces couleurs sont proposées par la Fédération Française de Taekwondo. Aux État Unis d’Amérique comme en Belgique, les couleurs peuvent être :
Blanche
Blanche barrette jaune
Jaune
Jaune barrette verte
Verte
Verte barrette bleue
Bleue
Bleue barrette rouge
Rouge
Rouge barrette noire
Noire
ou encore :
Blanche
Jaune
Orange
Verte
Bleue
Marron
Rouge
Noire
Dans tous les cas, après la ceinture noire 1er dan, il y a 9 autres rangs symbolisés par des barrettes que l’on nomme « Dan » (prononcez : « dane »). Ainsi nous pouvons être ceinture noire jusqu’à 10 Dans. Le 10ème dan est bien souvent donné à titre postume.
Les passages de grades s’effectuent jusqu’au 6ème dan, ensuite, les prétendants sont sur une liste et proposée pour le grade supérieur par la CSDGE, si le prétendant à œuvré pour le bien et le développement du Taekwondo… Il faut donc être investi,… Mais généralement, quand on arrive à ce niveau c’est que l’on est investi déjà depuis quelque temps !
Les passages jusqu’au 3ème dan peuvent s’effectuer en Région, près de chez vous dans votre ligue (jusqu’au 2ème dan dans certaine Ligue). Au delà, pour obtenir le 4ème dan et plus, cela se passe au niveau National (une session par an). Un passage de Dan peux durer de 4h à 6h en moyenne… Le plus dur est donc de rester motivé et concentré sur un temps relativement long.
En Taekwondo, une ceinture noire (yu dan ja) deviens Maître (Sabonim) à partir de 4ème dan et Grand Maître (kwanjangnim) à partir de 6ème dan.
La ceinture noire qui fait tant rêver les néophytes, n’est en fait rien d’autre que le début de l’apprentissage dans l’art martial.
En effet, la ceinture noire est le début et non une finalité. Ce grade signifie que vous avez acquis les bases fondamentales de la pratique et que vous êtes prêt à entamer le chemin (le « Do ») vers une réalisation personnelle… Le Taekwondo deviens donc un moyen pour y parvenir et deviens plus qu’une méthode de défense.
Les ceintures de couleur dans les arts martiaux doivent leur existence au fondateur du Judo, Jigoro Kano.
Lorsqu’il créa sa discipline, ce dernier envisagea directement sa pratique dans le monde occidental. Les orientaux sont des gens plus sage et plus patient que les occidentaux.
En effet, le fondateur en question a créé un système de progression différencié par des couleurs afin de « coller » à la mentalité du monde occidental… Autrement, les ceintures en arts martiaux étaient blanches, puis noires après plusieurs années de pratique. Dans l’optique donc de garder la motivation et de créer un certain engouement, il mit en place une progression avec un rang, un niveau visible : la couleur de la ceinture.
Désormais, les arts martiaux, et ce dans le monde entier, ont adoptés ce type de système de valorisation de l’apprentissage et du niveau du pratiquant.
Les couleurs et l’ordre de celle-ci peuvent par contre variées d’une discipline à une autre.
Attention, même la ceinture blanche désignant le débutant, le novice, et la ceinture noire, désignant le gradé, l’expert, dans les Arts Martiaux Japonais, ne signifie pas la même chose dans d’autres cultures…
Les ceintures au Karaté ont un liseret rouge en leur milieu.
En Judo/Jujitsu, en Aïkido et en Karaté, les couleurs de ceintures sont les suivantes :
Blanche
Jaune
Orange
Verte
Bleue
Marron
Noire (à partir de 14/16 ans)
Blanche et Rouge (à partir de 6ème dan, pour le Judo)
Rouge (à partir de 9ème dan, pour le Judo)
Pour les enfants, des ceintures avec une alternance de couleur existe, par exemples : jaune/orange ou orange/bleue.
Notons à la différence près que les ceintures au Karaté ont un liseret rouge au beau milieu de celles-ci.
En Jujitsu Brésilien la progression et la couleur de la ceinture est lié à l’âge du pratiquant :
Blanche – Débutant, quelconque âge
Grise – 4 à 6 ans
Jaune – 7 à 15 ans
orange – 10 à 15 ans
Verte – 13 à 15 ans
Bleue – 16 ans et plus
Violette – 16 ans et plus
Marron – 18 ans et plus
Noire – 19 ans et plus
rouge et noire
Rouge
Dans les arts martiaux Chinois, ce sont bien souvent des foulards plus que des ceintures. Dans tous les cas elles restent plus larges (10 à 15cm) que les ceintures des arts martiaux Japonais (5cm).
Dans les Arts Martiaux Chinois tel que le (Kung Fu) Wu Shu, le Sanda, la boxe Chinoise, le Taïchi Chuan, le Chi Qong (Qi Qong), ont parle plus souvent de foulard que de ceintures.
Ces dernières sont souvent en tissu satinés voire directement en soie.
Les ceintures de couleurs ne sont parfois pas utilisées. Il est possible également que certains clubs utilisent le système Japonais, mais le système de couleur qui lui est propre est plutôt celui-ci :
Noires (jusqu’à 3 barrettes rouges)
Rouge (jusqu’à 9 barrettes blanches)
Blanche
Les ceintures du Vovinam Vietvodao sont encore à part. C’est un code de couleur avec une représentation spirituel de la progression. On est ceinture jaune quand on à le Vietvodao dans la peau, rouge quand on l’a dans le sang et blanc quand on l’a dans les os.
En Vovinam Viet Vo Dao, art martial Vietnamien, le système de couleur adopté est soit comme le système Japonais soit totalement différent et donne alors ceci :
Bleue claire
Bleue foncée (avec une, deux ou trois barrettes jaunes)
Noire
Jaune (avec jusqu’ 2 barrettes rouge) Ceinture équivalente à la ceinture noire des autres arts martiaux.
Rouge cerclée de jaune
Rouge (avec des barrettes blanches de 1 à 6)
Dans les arts martiaux Coréens, Taekkyon, Tang Soo do, hapkido, soobak do ou Taekwondo, les couleurs se suivent de cette façon :
Blanche
Jaune
Orange (enfants)
Verte (enfants)
Violet (enfants)
Bleue
Rouge
Noire (à partir de 16 ans) ou Rouge et Noire (à partir de 14 ans)
Précisons qu’entre chaque ceinture il existe des barrettes (deux). Ce qui donnera ceinture jaune barrette bleue ou ceinture bleue deux barrettes rouges, etc…
Le système de couleur Coréen est proche du système Japonais qui est le plus connu.
Il y a beaucoup moins de ceintures pour les adultes, mais il reste les barrettes à chaque niveau.
Ces ceintures représentent donc un grade, un niveau de connaissance qui est propre au club auquel on appartient.
Les arts martiaux en général, étant tous très différents, il est donc impossible de donner un niveau d’équivalence entre deux arts martiaux. On ne peux donc pas dire qu’une ceinture Bleue de Judo est aussi forte ou connaît autant de chose qu’une ceinture bleue de Taekwondo ou encore d’Aïkido.
Comme je le disais plus haut, le rythme des passages de grades sont bien différents et cela donc peut aller de deux passages par an (comme bien souvent dans la majorité des clubs de taekwondo) à un passage par an puis un passage tous les deux ans comme dans certains clubs de certaines disciplines qui sont resté uniquement martial comme l’Aïkido.
Avant toute chose il faut bien comprendre et connaitre les différences entre ces deux disciplines.
Jigoro Kano, fondateur du Judo en 1882.
Le Judo, pour la petite histoire, est bien connu du grand public car implanté en France depuis les années 1935 avec l’arrivée de Mikinosuke KAWAISHI. Le Judo, art Japonais, est bien ancré comme discipline sportive National grâce à ces 550000 licenciés et bien connu des médias notamment comme discipline Olympique depuis 1964.
Quoiqu’il en soit, le Judo est un Sport Martial qui se rapproche de la Lutte car l’objectif est de projeter ou de faucher l’adversaire afin de rompre son équilibre et lui faire toucher les deux épaules au sol ou de l’immobiliser.
Une projection spectaculaire de Judo.
On parle véritablement de « Sport Martial » car il faut obligatoirement passer par des épreuves compétitives afin de cumuler des points et pouvoir prétendre à la ceinture Noire. (Mise à part à partir d’un certain âge).
Le Judo se pratique forcement avec un partenaire puisqu’il est question d’agripper le Kimono de la façon la plus judicieuse. Une fois bien empoigné il convient de mettre en place une tactique afin de se placer pour projeter ou de réaliser une contre-prise en utilisant l’élan de l’adversaire.
Les combats appelés « randori » se déroulent sous forme d’un round de 5 à 2 minutes selon la catégorie d’âge.
C’est par ailleurs, grâce à Jigoro Kano, le fondateur du Judo, que nous avons des ceintures de couleurs dans nos arts martiaux.
Le Judo se pratique à partir de 3/4 ans grâce à des sections de baby Judo très répandu dans les clubs de Judo.
Le Général Choi Hong Hi, fondateur officiel du Taekwondo en 1955
Le Taekwondo, lui, viens de Corée du sud. C’est un art martial militaire enseigné dès l’école primaire jusqu’à l’université ainsi qu’aux militaires Coréens.
Historiquement, le Taekwondo est créé le 11 avril 1955 par le général Choi Hong Hi, mais voit ces origines remonter à plus de 2000 ans avant J.C..
Les origines viennent principalement du Taekkyon, le SooBahk, le KwonBup (arts martiaux Coréens) mais aussi du Karaté (Japonais) et de l’Aïkido pour la partie Hoshinsoul (self-défense).
Quasiment toutes les disciplines « sources » du Taekwondo sont des disciplines de percussions. Le Taekwondo est donc un système de combat pieds et poings de percussion, mais pas que cela, puisqu’il intègre également des techniques de self-défense, avec des dessaisissements et des clés (luxation des membres).
En Taekwondo, les combattants sont très protégés afin de garder l’intégrité physique des pratiquants… Cela n’empêche pas toujours les blessures !
Le Taekwondo est devenu plus qu’un art martial, car il est aussi discipline sportive Olympique depuis les Jeux Olympiques de Sydney en 2000, au même titre que le Judo. Ceux sont les deux seuls arts martiaux inscrit au programme Olympique.
Le Taekwondo présent au J.O. est uniquement le Taekwondo combat sportif.
Lors de ces combats, les compétiteurs sont protégés grâce à une « armure ». En effet, la pratique en compétition du combat est très règlementé et les pratiquants sont très protégé car les coups sont parfois violents. Le plastron protège le tronc, un casque pour la tête, des mitaines pour les poings, des protèges tibia, des protèges avant bras et une protection intime (coquille).
Les techniques en Poomsé doivent être réalisées de la plus juste façon.
On a donc tendance à oublier qu’il y a également le combat martial (Kyorugui), la self défense (Hoshinsoul), les techniques de bases (Kibon), le pas combat (Hanbon Kyorugui), les formes/enchainements techniques (Poomsé), la casse (Kyokpa) et la démonstration avec ces formes évoluées, artistiques et créatives (Mudo) qui font parti intégrantes également du Taekwondo.
C’est donc, pratiqué dans son intégralité, un art très vaste à explorer. Par rapport au Judo, le Taekwondo n’a pas du tout de combat au sol.
La pratique peux débuter vers les 3/4 ans (baby Taekwondo) et n’a pas de fin, à condition d’adapter la pratique sans vouloir copier les plus jeunes…
Pour le passage de la ceinture noire, le pratiquant devra alors présenter devant un jury, des techniques de Hoshinsoul, Kibon, Hanbon, Poomsé et faire un combat sportif.
En résumé :
Le judo est un sport martial basé sur la saisie et la projection. Les enchainements se terminent au sol. C’est un art martial relativement basé sur la force malgré la contradiction de sa traduction, car Ju-Do veux dire la Voie de la Souplesse (rien à voir avec la souplesse corporelle, mais plus avec la souplesse de l’esprit). Le Judo reste une pratique sportive qui ne peux se pratiquer qu’avec un partenaire.
Le Taekwondo (la voie de la maitrise des pieds et des poings) est un peu plus compliqué à définir car il regroupe 6 facettes, ce qui le rend relativement complet. Par contre ce qui n’existe pas du tout c’est le travail au sol comme au judo. Il y a des techniques de self-défense ou l’on peux envoyer au sol mais rien de comparable au judo car ce n’est pas la « priorité » de cet art martial principalement de percussion pieds/poings. Cette discipline peux se pratiquer avec un partenaire, on peux également le pratiquer et s’entrainer de façon individuelle. Le Taekwondo développe donc la tonicité, la souplesse, la coordination de façon homogène.
Alors, Judo ou Taekwondo ?
À vous de choisir ce qui vous correspond le mieux 😉 !
Le Karaté et le Taekwondo, n’est ce pas la même chose ?
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Eh bien non, ce n’est pas pareil…
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Ce sont tous les deux des disciplines de percussion à la base mais qui peuvent être aussi proche que lointaine.
Le Taekwondo est Coréen, le Karaté est Japonais, …mais ça ce n’est qu’une question d’origine et non de pratique.
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Il existe plus de 2500 style de Karaté, ce qui sous entends que, dire que l’on pratique le Karaté est équivalent à dire que l’on pratique un sport dans un club, mais… lequel ?
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Les styles de Karaté sont aussi nombreux que variés avec des prédominances de frappe pieds/poings pour les styles comme le shotokan ou avec plus de techniques de projection et balayage comme le Wado ryu.
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Le style de karaté le plus récent et le plus réputé pour être le plus dur dans sa forme est le Kyokushinkaï. C’est en fait un style de Karaté instauré par un Coréen durant l’occupation Japonaise. Ce style vient directement du Taekwondo avec des changements radicaux sur le fond, de manière à se rapprocher d’une forme de boxe de rue relativement violente.
Le Karaté Kyokushinkaï viens directement du Taekwondo qui, lui-même prend source dans le Karaté d’Okinawa
Le kyokushinkaï se pratique avec peu de protection, on privilégie les frappes de jambes. C’est une version « combat de rue » du Taekwondo
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On peut donc dire que le Karaté Kyukushinkaï est la « version rurale » du Taekwondo. On peut dire encore que c’est du « Karaté Coréen » ou du « Taekwondo Japonais »…
Le Taekwondo est connu et reconnu pour ses techniques de coups de pieds sautés
Quoi qu’il en soit, le Taekwondo a toujours été comparé au karaté. Ceci est tellement vrai que pour résumer, on désigne souvent le Taekwondo de « Karaté volant« …
…En fait le taekwondo voit ses bases profondes nourris par le Karaté à cause de l’occupation de la Corée par les Japonais.
Le Taekwondo est relativement léger dans sa gestuelle et les coups de pieds sont nombreux, ce qui lui confère un fort pouvoir visuel.
Par ailleurs, lorsque le Taekwondo a été importé en France en 1969 par Maître Lee Kwan Wong, il a été associé à un style de Karaté par l’état et a été mis sous la tutelle de la Fédération Française de Karaté et disciplines associées (FFKAMA). Ce ne sera qu’en 1995 que la FFTDA (Fédération Française de taekwondo et disciplines associées) sera créé.
–
Pour résumer, si on vous dit : « je fais du Karaté ! », répondez : « ok, mais lequel ? »; car c’est comme si on vous disait : » j’habite vers Paris ! »… Attendez donc une réponse plus précise car ce n’est pas pareil si on vous dit : » j’habite à Vincennes. »…
Les Challengers aiment voyager, aiment l’aventure, aiment parcourir la France à la recherche de trésors perdus.
Chaud devant!! tout le monde descend …euh monte pardon ; direction le grand nord!!
C’est ainsi que dès le vendredi, les Challengers montèrent à bord de plusieurs embarcations avec un lieu en commun –>Lille!! Oui oui Lille aux enfants avec les pirates et les trésors.
Une partie de l’équipe fera escale à Tours pendant que l’autre siègera à Paris. Les Challengers posent leurs bases un peu partout avant d’attaquer héhé!!
Nous voici donc au jour J le samedi 16 Avril 2011. A l’assaut!!! Tous a Lille!!!
Ce jour-ci nos plus valeureux Challengers, ceux qualifiés pour le Championnat de France technique, vont tenter de faire parler la poudre.
– Fanny est la première à s’élancer sur le sable fin présentant tchil jang. Manque de chance le sable était mouvant et Fanny s’est faite aspirée vers le font du classement.
– S’en suit Camille qui donne toute sa dévotion sur Pyon Won, son poomse fétiche ! Certes sans plus de succès mais avec le sourire (voir 2ème photo ci-dessous lol)
– Enfin, notre entraineur passe et pif paf pouf c’est le drame il s’est noyé dans l’océan youk jang.
Ne s’avouant pas vaincu pour autant nos corsaires pugnaces ne lâcherons pas l’affaire et s’uniront afin de se donner une chance supplémentaire!! C’est ainsi qu’un trio de guerrières et d’un autre coté une paire de la puissance obscure se forment. Malheureusement les Challengers devront essuyer un nouvel échec!!
Ni une, ni deux, ni trois, ne trouve le trésor. Les chercheurs d’or repartent bredouille réviser leur stratégie d’attaque pour le critérium du dimanche!
Nous voici dimanche matin en pleine action et déterminé à trouver l’Or.
Les enfants arrivent en premier sur l’île et commence à s’échauffer sur le sable fin.
– Benjamin rentre en action, pourtant malgré tant de détermination il ne parvient pas à trouver l’or, tandis que Manon fait des pieds et des mains pour creuser au plus profond dans son énergie mais en vain (ou vin).
– Pendant ce temps Margaux part elle aussi à la poursuite du coffre fort, mais hélas elles fut , dans sa recherche, encerclée par 3 boucaniers qui lui ont dérobé sa carte pour la donner a sa rivale!!!!Ainsi elle a du renoncer à cette quête malgré elle 🙁
– Agathe est déjà partie à la recherche du précieux trésor, elle creuse, creuse et touche enfin quelque chose mais ce n’est pas suffisant. Elle fait un petit tour et hop au boulot, c’est reparti pour un challenge. Tenace, Agathe ne lâche rien malgré le stress et parvient enfin à sortir ce fameux trésor remplie d’une belle médaille d’or.
Le regard d’une championne!! Rentenez bien son visage et tremblez quand vous le verrez!!!
Le bilan de ce week end est donc glorieux pour nos apprenti pirates puisque les Challengers ont trouvé a Lille l’or qu’ils cherchaient!! Du coup après avoir mis le feu aux planches grâce à Agathe (voir photo ci-dessous MEGA LOL quand même^^),
la matinée se termina et tous le petit monde remonte à bâbord et à tribord afin de quitter Lille où il faisait très chaud. Tous mourait de soif donc direction les vignes pour se ressourcer en eau pure et brute, évidemment !
« Le taekwondo c’est pas que pour les grand d’abord!!! Nananère!!! »
Et bien oui en effet puisqu’en ce dimanche 10 avril 2011 eu lieu une compétition combat de Taekwondo exclusivement réservé aux benjamins et aux minimes et croyez-moi ils ont rien à nous envier car même dans ces catégories là…Ca pulse!!!
D’abord un petit point de règlement concernant la touche puisque les benjamins ne sont autorisés qu’a viser tête bien qu’ils aient casque…ET COQUILLE ^_^ » alors que les minimes eux sont autorisé a viser tête…Certain ne s’en sont pas privé d’ailleurs 😉
Après ce petit aparté intéressons nous à nos valeureux Challengers participant a cette compétition. Nous avons donc Rémi, Maëlys, Mélina, Marylou, Camille, Laurette et Lola
Et tout ça dirigé de crane main de maitre par Eric Albasini lui-même 😉
Entrons plus sérieusement dans le vif du sujet avec d’abord Rémi à la manœuvre. Rémi nous a sorti un très beau combat, a dominé 2 rounds son adversaire avant de lâcher au 3ème par manque de souffle ; frustrant pour le coup! Mais bon il peut être fier de son combat 😉
S’en suit un combat fraternel entre Challengers David contre Goliath euh non Genissac contre Bouliac ^^ qui opposa donc Maëlys à Marylou. Un combat super disputé avec une victoire 7 à 5 pour MMMMaëlys (Bouliac en force^^). Non plus sérieusement bravo a toute les deux car vraiment aucune a lâcher le morceau ; ça s’est joué jusqu’à la dernière seconde!! Comme elles étaient seules dans leurs catégorie, Maëlys a donc reçu l’or et Marylou la médaille d’argent 😉
Mélina entre en scène contre une taekwondoïste d’un autre club (ahhh du Challenge!!) Elles n’étaient que 2 dans la catégorie donc la donne est simple soit l’or soit l’argent!! Après un valeureux combat …a du s’incliner non sans démérité tout de même. Félicitation à toi!
Que…quoi? O_o encore un combat de fratrie? Et bien oui cette fois-çi il opposera deux génissacaises donc c’est un pur combat fraternel où l’on s’est donné coup pour coup (il y a quand même l’or au bout). Ca y a tellement été que la petite Laurette à du renoncer a aller au bout a cause d’une douleur au niveau du pied droit. Du coup Lola rafle l’or et « L’orette » prend l’argent (hop là joliment glissé celle là^^)
Enfin Camille scellera les combats des Challengers contre une fille de l’extérieur pour une finale direct. Elle nous a fait un super combat et est allé chercher sa médaille d’or au mérite! Bravo pour cette belle performance 😉
Petite photo de groupe pour bien achevé cette belle journée de taekwondo :
Amis amoureux du Taekwondo, je suis heureux de vous dire que le club des Challengers grandi!! Et pour continuer de croitre le club a besoin de bouger, de gouter à de nouvelles choses, à de nouveaux territoires, à de nouvelles sensations!
Et bien c’est ce que nous avons fait ce weekend là! Nous nous sommes déplacer en nombre direction la Capitale afin de se frotter à ce qui se fait au niveau INTERNATIONAL..oui oui vous avez bien lu!! Il y avait pas mal de nationalités tel que des suédois, des italiens, des belges, des suisses, des anglais, et même des malgches et des tongiens!!!
La journée du samedi a débuté avec les DANS comprenant les ceintures rouges et noires.
Pour commencer, à 9h00 commence les séniors 1 féminin sur l’aire numéro 1 avec Fanny en 10ème position et Carine en 20ème sur Pal jang (8ème). Les 34 compétitrices passent, et elles terminent respectivement à la 30ème et 31ème place, laissant des combattantes dernières elles.
Dans le même temps, les seniors 2 masculins passent sur l’aire numéro 3. Eric passe le 1er tour sur Tchil jang (7ème), pas son préféré et pourtant il se qualifie pour le 2ème tour. Cette fois-ci, l’entraineur exécute Taebeck (3ème sup), ainsi que Sip jin (5ème sup) avec une minute de récupération. Même bras de combat, même résultat, Eric est en final. En dernier lieu, il fait Pyon wong (4ème sup) et Keumgan (2ème sup) pour finir à la 7ème place sur 16.
S’en suit, les seniors 2 féminine, sur la même aire que les seniors 2 masculins, avec Camille qui exécute Tchil jang. Elle se classe … sur … .
Enfin aire numéro une, le trio magnifique, qui propose Taebeck et Sip jin dont l’objectif était de ne pas se tromper dans le diagramme, car poomsé appris 3 jours auparavant, resteront à la 9ème place sur 9ème équipes. Cependant objectif atteint.
La journée se termine avec pleins de joie, de bonne humeur, et surtout pleins les yeux !
Le dimanche arrive et les plus jeunes sont déjà en train de se préparer.
Notre benjamine de l’équipe se présente sur l’aire numéro 2, passant à chaque fois tous les tours pour terminer 1er de la compétition sur 23, exécutant sans relâche Youk jang (6ème). Oui oui, vous avez bien lu, Agathe est montée sur la plus haute marche du podium. Elle a mis la barre très haute stressant ses confrères.
Sur l’aire numéro 1 se déroule dans la catégorie cadette Margaux et Inès. Toutes deux passent deux tours sur Youk jang. Margaux se classe à la 9ème place, elle ne se qualifiera pas pour la finale, tandis qu’Inès continue son petit bonhomme de chemin. Elle terminera 7ème.
Pendant ce temps, Benjamin se présente sur l’aire numéro 2 pour executer Youk jang. A son tour, il passe les tours et se qualifie pour la finale. Il termine à la 6ème place .
Ensuite, les filles sont appelées sur l’aire numéro 2 pour passer en trio, Agathe, Margaux, Inès, et de nouveau médaille d’or. Yes, yes, elles passent devant les 3 autres équipes. Que du bonheur !
Pas le temps de chaumer pour les reporters sans compétition, les catégories seniors féminins et masculins se déroulent dans le même temps sur les aires numéro 4 et 3. Bapstiste exécute Sam jang (3ème) et se classe à la 10ème place sur 17, tandis que Marco montre Youk jang et passe un à un les 3 tours. Il finit 5ème exéco.
Pour conclure ce beau tournoi, Estelle remporte la médaille d’or laissant derrière elle deux combattantes.
Et un et deux et trois médailles d’OR sur la journée du dimanche !
Les challengers ne font pas les choses à moitié. Pas de médailles ou l’OR.
