Pour cette première compétition technique de l’année, ce sera une sortie spéciale féminine avec l’open technique féminine de l’Hérault.
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Cet Open réservé aux filles propose une compétition d’enchaînements techniques. Ces chorégraphies martiales codifiées doivent être réalisé avec justesse, puissance, souplesse, aisance, stabilité et vélocité.
Cette compétition demande à ces participantes de réaliser ces formes (les Poomsés) en confrontation directe (enchaînements réalisé sur la même aire en même temps) avec les autres participantes sous forme de tableau de rencontre afin de « gagner des combats » et de cumuler ainsi des points.
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…Une photo qui doit certainement rappeler la même situation dans les autres voitures ;-). En bref, le conducteur reste bien souvent le seul éveillé… Et il vaut mieux lol.
Pour cette aventure, tout débutera par un petit voyage. 4h30 de route de La région Aquitaine, proche de Bordeaux vers Béziers dans le Languedoc Roussillon.
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Notre équipe des Challengers Main Ho engagera 4 compétitrices. Inès (section Génissac) en Minime, Mélina (section Génissac) en Cadette, Agathe (section Bouliac) en Junior et Fanny (section Génissac) en Senior 2.
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Après la route, l’équipe se restaure avant d’aller se reposer.
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Le matin se sera un stage avec 4 ateliers :
Techniques de combat.
Hoshinsoul, self défense.
Préparation physique et tests.
Poomsés et techniques de bases.
Inès durant le stage technique sur Taegeuk Il Jang.
Mélina sur la partie hoshinsoul, la self défense.
Agathe en technique de combat.
70 participante lors de cette journée bien organisée.
Fanny en technique raquette.
Fanny sur la partie préparation physique.
L’équipe Technique des filles avec Maitre Lee Won Sik, directeur technique National traditionnel.
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Inès dans le Poomsé Il Jang.
Inès ravie de la médaille d’argent.
Inès en catégorie ceinture jaune, 11 ans, sans stress pour sa première compétition, ouvre le bal en montrant sa « force tranquille ».
Il terminera ainsi 2ème sur un enchaînement qui permet aux jeunes débutants de s’exprimer, le Poomsé Il Jang.
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Mélina peut être contente de sa médaille d’or et de ses prestations !
Mélina en catégorie ceinture bleue,12 ans, malgré de la panique en voyant ses concurrentes, réalisera un parcours sans faute à chaque tour sur le 5eme Poomsé, une forme qui devient déjà assez complexe à maîtriser demandant souplesse et coordination.
Cette jeune compétitrice technique décroche la 1ère place avec le sourire.
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Agathe dans le Poomsé Youk Jang.
Agathe n’arien lâché pour la première place, encore une !
Au tour d’Agathe, ceinture rouge, en préparation de sa ceinture noire car elle a bientôt 14 ans, présente la 6eme forme. Agathe est une habituée des compétitions technique en Taekwondo avec des résultats au niveau National, cela n’empêchera pas l’anxiété de la gagner.
Après un petit entretien avec son coach, elle sera alors prête a montrer sa rage et sa détermination qui font d’elle une compétitrice redoutable.
Un parcours sans aucune ombre qui ne laissera aucune chance à ses concurrentes. Une magnifique médaille d’or ornera son coup à la fin de cette compétition.
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Fanny dans le Poomsé Taebeck.
Fanny, médaille d’or… Un petit sourire pour la photo 🙂
Pour terminer, Fanny, ceinture noire 2ème Dan à 31 ans, malgré un mécontentement personnel et de petites erreurs qui seront corrigés durant les prochains entraînements, sera reçu sur la plus haute marche du podium également, en présentants des poomsés supérieurs qui demandent beaucoup d’années de pratique pour une réalisation correcte.
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L’équipe a le droit à la troisième en classement club.
Un classement par équipe sera également donné par rapport aux médailles remportés par ces dernières. Notre équipe technique des Challengers Main Ho Taekwondo aura la coupe de la 3ème place avec seulement 4 techniciennes :-).
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Éric, fier de son équipe technique féminine, avec Mélina, Fanny, Agathe et Inès.
Autant dire que le coach et entraîneur, Maître Éric Albasini est fière de son équipe féminine de ce weekend et motive les troupes pour l’objectif des Championnats de France Technique qui seront cette année à Toulouse.
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Une belle coupe de l’équipe a bien mérité!
Félicitations encore à l’équipe.
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Mélina sur la partie hoshinsoul, la self défense.
Inès ravie de la médaille d’argent.
70 participante lors de cette journée bien organisée.
L’équipe a le droit à la troisième en classement club.
Agathe n’arien lâché pour la première place, encore une !
Fanny sur la partie préparation physique.
Inès durant le stage technique sur Taegeuk Il Jang.
L’équipe Technique des filles avec Maitre Lee Won Sik, directeur technique National traditionnel.
Après la route, l’équipe se restaure avant d’aller se reposer.
Mélina peut être contente de sa médaille d’or et de ses prestations !
…Une photo qui doit certainement rappeler la même situation dans les autres voitures ;-).
En bref, le conducteur reste bien souvent le seul éveillé… Et il vaut mieux lol.
Agathe en technique de combat.
Fanny en technique raquette.
Fanny, médaille d’or… Un petit sourire pour la photo 🙂
Voici une technique de Hoshinsoul, self défense du Taekwondo sur une saisie des deux poignets de face.
Cette technique de self défense est un enchaînement avec une sortie en clé de coude.
1- Face à votre partenaire.
1-Face à face, vous êtes en Joumbi seugui, votre partenaire en kyorugui seugui.
2- Le partenaire vient saisir les deux poignets.
2-Le partenaire vous saisi les deux poignets de face.
3- Saisissez le poignet de votre partenaire par dessous.
3- Si vous voulez aller du côté droit, par exemple, tournez votre main gauche, paume vers le ciel, et saisissez le poignet de votre partenaire avec l’autre main, par dessous.
4- Frappez avec ap tchagui au niveau bas ventre.
4- En même temps que l’étape précédente, frappez votre partenaire avec un coup de pied de face, ap tchagui au niveau du bas ventre.
5- Posez la jambe devant et avancez en déséquilibrant votre partenaire.
5- Après la frappe, réarmez la jambe et posez la en avançant vers le coté intérieur de votre partenaire.
Vous devez avoir votre coude collé à son coude.
6- Tournez lorsque vous avez vos deux mains au dessus de vous.
6- Levez les deux bras devant vous et passez en dessous de vos mains en réalisant un autre grand déplacement..
Tournez lorsque vos deux mains sont juste au dessus de votre tête.
Votre main tient toujours fermement le poignet du partenaire.
7- Terminez votre rotation.
7- Tournez jusqu’à revenir vers votre partenaire.
Votre deuxième main vient attraper le poignet de votre partenaire.
Ensuite redressez vous en reculant légèrement.
8- Descendez vos mains devant vous.
8- Debout, descendez les deux mains devant vous doucement en réalisant une flexion sur le poignet du partenaire.
9- Amenez votre partenaire un sol progressivement.
9- Contrôlez bien la descente de votre partenaire, en continuant d’amenez son bras fléchi, sans à-coup.
Allez jusqu’au sol en pliant bien vos jambes, sans vous vouter le dos.
Vous devez être collé le plus possible à votre partenaire, le genou au sol est celui du côté du partenaire.
10- Vous pouvez terminer par une frappe.
10- Avec votre main gauche appuyez sur le coude de votre partenaire en faisant en sorte que son coude soit à la vertical de son poignet.
Vous pouvez alors lâchez ensuite le poignet avec votre main droite.
Terminez le mouvement par une frappe en pique de doigts au niveau de la gorge (pyon son keut eupo tchigui) avec votre main droite.
Cet enchainement est relativement technique et il y a des heures de répétition si l’on veux que cela devienne efficace, même si, à première vue, cela à l’air simple à réaliser.
Pas facile de mettre cette ceinture pour la 1ère fois 🙂
C’est cette partie du Taekwondo qui est la plus connue, vue, développée et enseignée.
La partie combat du Taekwondo pourrait être divisée en plusieurs sous disciplines.
En Taekwondo, on parle de Kyorugui pour désigner la partie combat au plastron, c’est à dire la partie de confrontation sportive de percussions.
Cependant, il existe des sous-catégories de cette partie de la pratique.
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Voici différentes parties dans la pratique du Kyorugui :
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Le combat réel où l’on peut réaliser réellement tous les mouvements du Taekwondo avec les pieds, poings, genoux, coudes, tibias, etc…
Le yaksok yajou Kyorugui, forme d’exercices semi codifié avec partenaire, qui était, auparavant, une des épreuves pour les passages de ceintures noires et Dan.
Le Kyorugui avec plastron.
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Le Kyorugui avec plastron :
Les combats en Taekwondo sont très dynamiques.
C’est cette dernière partie qui est présentée aux Jeux Olympique.
C’est une forme de jeux d’opposition qui ressemble à de l’escrime de jambes.
Comme tout jeux, il y a des règles.
Ces règles évoluent avec le temps et avec les différents problèmes rencontrés par rapport à l’évolution olympique et médiatique de la discipline.
De ce fait, la réglementation a beaucoup changer ces dernières années afin de permettre une meilleur visibilité pour le grand publique, une meilleure lisibilité et compréhension par les profanes.
Comme dans beaucoup de disciplines, il faut que les néophytes comprennent le plus facilement possible afin de promouvoir la discipline. En effet, si personne ne comprends rien à un sport, il n’intéressera personne. C’est exactement ce qui s’est passé dans le Rugby où les actions dans les mêlés n’étaient pas assez visuelles donc inexploitable pour la promotion du sport… Les règles ont alors changés au profit d’une meilleur compréhension et d’un meilleur visuel de l’action.
Le but de ce « sport de combat », puisqu’on est plus dans le Taekwondo Martial, est de toucher son adversaire, principalement avec les pieds, sur son plastron (corps) ou au casque (tête).
Le mode de combat diffère avec l’âge afin de conserver l’intégrité physique des combattants.
Les enfants de moins de 9 ans (Poussins – 5/6 ans et Pupilles -7/8ans) ne se touchent pas, c’est de l’initiation au combat et réalisent 2 techniques chacun leur tour.
La durée du combat est de 3 fois 30 secondes avec 15 secondes de repos.
Les enfants de 9 et 10 ans (Benjamins) ont la possibilité de faire deux types de compétition combat. Soit ils font de l’initiation sans touche, soit ils se touchent au plastron uniquement, pas à la tête, même s’ils portent le casque.
La durée du combat est de 3 fois 1 minute avec 30 secondes de repos.
Les enfants de 11 et 12 ans (Minimes) ne touchent qu’au plastron également, ils portent le casque.
La durée du combat est de 3 fois 1 minute avec 30 secondes de repos.
Les enfants de 13 à 17 ans (Cadets – 13/14 ans et Juniors – 15/16/17 ans), touchent le casque avec les pieds et touchent le plastron avec les pieds et les poings.
La durée du combat est de 3 fois 1’30 » avec 1 minute de repos pour les cadets.
La durée du combat est de 3 fois 2 minutes avec 1’30 » de repos pour les juniors.
Les adultes de 18 à 29 ans (Seniors), touchent le casque avec les pieds et touchent le plastron avec les pieds et les poings.
La durée des combats est de 3 fois 2 minutes avec 1’30 » de repos.
Les adultes à partir de 30 ans (Vétérans), touchent au plastron uniquement, portent un casque.
La durée des combats est de 3 fois 1’30 » avec 1 minute de repos.
L’arbitre en Taekwondo a un rôle des plus importants et doit avoir un oeil sur tout ce qui se passe sur et autour de son aire.
Les interdits en compétitions combat :
Les Kyong-go (avertissements)
Sortir de l’aire de combat.
Fuir ou refuser le combat.
Tomber.
Saisir, tenir ou pousser l’adversaire.
Attaquer en dessous de la taille.
Donner un coup de tête ou attaquer avec le genou.
Frapper le visage de l’adversaire avec la main.
Proférer des remarques ou avoir une conduite indésirable de la part du compétiteur ou du coach.
Lever le genou pour éviter une attaque autorisée ou entraver le déroulement d’une attaque.
Les Gam-jeom (pénalités, point en moins)
Attaquer l’adversaire après « Kal-yeo ».
Attaquer l’adversaire au sol ou en dessous de la ceinture.
Projeter l’adversaire en le saisissant, en tenant le pied attaquant ou en repoussant l’adversaire avec la main.
Attaque délibérées au visage de l’adversaire avec la main.
Attaquer délibérément en dessous de la ceinture.
Interruption du déroulement du combat par le coach ou le combattant.
Remarques violentes ou comportement extrême de la part du coach ou du combattant.
Fuir le combat volontairement.
Avant chaque combat, l’arbitre doit vérifier si des manipulations du système électronique et/ou une augmentation de la sensibilité des capteurs de protections de pieds ou toutes autre fraude, ont été tentées par l’athlète ou son coach. Dans le cas de manipulations frauduleuses, l’arbitre se réserve le droit de donner un « Gam-jeom » au compétiteur ou de disqualifier l’athlète en fonction du degré de gravité de la fraude.
Quand un combattant refuse intentionnellement d’observer les règles de compétition ou se conformer aux ordres de l’arbitre, ce dernier peut déclarer le compétiteur perdant par disqualification après 1 minute.
Quand un compétiteur reçoit 8 « Kyong-go » ou 4 « Gam-jeom » ou en cas de n’importe quelle combinaison de « Kyong-go » et « Gam-jeon » dont le total s’élève à moins 4 points, l’arbitre déclarera le compétiteur perdant par pénalités.
Les règles évolueront encore certainement car toutes les disciplines Olympiques son sur des « sièges éjectables » et il faut alors se battre pour que la discipline en question soit télévisuelle et clairement décriptable aux yeux de tous.
Dans tous les cas, la règlementation ne changera pas l’objectif de la confrontation, alors j’espère que cet article vous aura bien aidé à votre compréhension de cette partie de la pratique du Taekwondo ;-).
Voici un deuxième exemple sur cette saisie de poignet par la main directe avec une clé de bras.
Nous sommes donc ici dans le cas où le partenaire attrape, par exemple, le poignet gauche du partenaire avec sa main droite, directe et non croisée.
Face à face en position d’attente.
1- Face à face, un position d’attente « joumbi seugui », le partenaire est en garde, prêt à attaquer.
Laissez vous saisir le poignet direct.
2- Le partenaire vous saisi le poignet de façon direct.
Par exemple, le partenaire vous saisi le poignet gauche avec sa main droite.
Faites un coup de pied de face « ap tchagui »
3- Stoppez l’avancé du partenaire par un coup de pied de face « ap tchagui » ou légèrement incliné « bandal tchagui », selon comment se place votre partenaire.
Le coup de pied se fait en même temps que vous saisissez la base du poignet de votre partenaire.
Après le coup de pied commencez votre mouvement de torsion.
4- Après la frappe avec le pied, posez votre jambe devant en vous plaçant de façon à réaliser un déséquilibre au partenaire.
Vous obtenez le déséquilibre en réalisant une torsion au partenaire. Pour cela vous saisissez le poignet de votre partenaire également avec votre deuxième main et passez l’ensemble devant vous en allongeant le bras du partenaire.
Réalisez un contrôle avec votre coude, sur le coude du partenaire.
Tournez sous vos mains et retrouvez vos mains sont devant vous.
5- Levez ensuite vos main au dessus de votre tête et tournez.
Votre demi-tour terminé, redescendez vos main devant vous.
Descendez les mains devant vous.
6- Restez droit, en descendant vos mains en face de vous.
Pas besoin de force, cela se fait par une simple action sur les articulations en créant le déséquilibre.
Continuez le mouvement jusqu’au sol sur le même rythme.
7– Amenez le mouvement en posant un genou au sol en accompagnant votre partenaire sans à coup.
Évitez toute saccade dans votre enchainement pour que votre partenaire ne se crispe pas et éviter ainsi de le blesser.
Le club, le « Dojang« , est le lieu d’entrainement pour les arts martiaux Coréens. Le dojo est l’équivalent pour les arts martiaux Japonais comme le judo, Karaté ou l’Aïkido.
Exemple de dojang pour la pratique du Taekwondo sur Tatamis
Les dojangs peuvent être d’ordre privés ou municipales. On pratique sur tatamis ou salle de sports polyvalentes, gymnases ou encore salle de danses…
En France, un club de Taekwondo est forcément sous forme d’association régie par la loi de 1901. Les communes organisent bien souvent en début de saison des forums des associations afin de faire découvrir aux habitants de la commune, les différentes activités proposées…
Profitez alors de ces manifestations pour favoriser un moment de rencontre et de découverte.
Un enseignant
L’enseignant, le « kyosanim« , le « Sabeunim« , le Maitre, ou encore le « Kwanjanim« , sont les titres utilisés dans les dojangs de Taekwondo.
L’enseignement du Taekwondo en France est règlementé.
Un enseignant doit avoir un diplôme afin d’enseigner le Taekwondo. Il existe des diplômes fédéraux pour enseigner de façon bénévoles. Il existe d’autre diplôme d’état, en lien avec la fédération Française de Taekwondo et disciplines associées (FFTDA), afin, cette fois ci, d’enseigner de façon professionnel en touchant une rémunération.
On peut alors dire qu’en France, vous trouverez forcement un club avec un encadrement qui tiens la route…
Un dobok
La veste du dobok a un col en « V », différent d’une veste ouverte de kimono pour les arts-martiaux japonais.
Comme toutes pratiques de disciplines physiques, il faut un équipement spécifique. En Taekwondo, la tenue (pantalon et veste) de pratique est le « Dobok« .
…Une sorte de pyjama assez large avec un col en V pour la veste.
Le dobok a un col blanc pour les débutants et les ceintures de couleurs, et un col noir pour les pratiquants confirmés ceintures noires.
Une bouteille d’eau
Buvez !
Le Taekwondo n’est pas de tout repos…
Une ou deux gorgées avant de commencer. S’il y a une pause ne buvez pas trop par contre pour éviter les ballonnement et vomissement.
…Re-buvez après le salut de fin de cours et encore régulièrement durant la soirée afin de re-stocker les minéraux perdus avec la sueur.
Des protections
Les protections protègent quasi intégralement les combattants, permettant facilement une pratique féminine.
Les protections ne sont pas à acheter tout de suite en général…
Après, bien sûr, cela dépend aussi du club et des désires de l’enseignant, ou du pratiquant…
Les protections vont littéralement de la tête au pied.
Le Taekwondoïste (pratiquant de Taekwondo) est réellement bien protégé durant les confrontations combats. C’est la discipline de combat où les combattants sont les mieux protégés d’ailleurs…
Ce qui limite beaucoup des blessures même si on est jamais à l’abris de tout…
…Les contusions existent toujours mais sont largement diminués.
De la persévérance et de la patience
Comme toutes disciplines, et encore plus dans le monde des arts martiaux, on arrive pas à tout, tout de suite… Rome ne s’est pas fait en un jour !
Alors laissez vous du temps, les choses viendront d’elles même.
La particuliarité des Arts Martiaux c’est que l’apprentissage n’a pas de fin et c’est l’histoire de toute une vie…
…Il faut accepter cela en premier lieu si l’on veut persévérer et rester dans ce milieu longtemps.
…Il y a tant à apprendre mais aussi à découvrir soi même.
J’espère que tout cela aura éclairé votre lanterne pour avancer dans ce chemin qui parait brumeux au premier abord !
Alors si vous avez des questions, passez par les commentaires, n’hésitez pas.