« Tiens, tu as dormis avec ton dobok ? »
Voilà ce que je demande à celui ou celle qui se présente en cours avec sa tenue froissée, fripée.
Pourquoi un tel état ?
Généralement par flemme de plier son vêtement après l’entrainement ou après l’avoir sorti de la machine à laver…
Pourtant il est bien rapide de plier correctement son dobok afin d’être présentable en cours de Taekwondo.
Il est même « normal », de demander à un élève qui se présente mal, de devoir faire des « pompes » pour comprendre que c’est une question de respect avant tout, d’être correctement vêtu.
Respect d’abord envers soi, envers ses compagnons et surtout envers le Maitre…
Alors voilà une antisèche :
3 façons de plier son dobok
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Pliage Rapide du dobok
En fin de cours, je file dans les vestiaires et zouh! Il faut vite rentrer alors je plie rapidement mon dobok pour ne pas le froisser, d’autant plus qu’avec l’humidité de la sueur, tous les mauvais plis risquent d’être marqués…
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Pliage roulé du dobok
Une autre façon assez rapide également qui prend très peu de place dans le sac de sport…
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Pliage traditionnel du dobok
Ce pliage est plutôt réservé pour le rangement dans l’armoire après avoir été lavé et repassé, mais rien n’empêche de le plier ainsi à un autre moment.
Il est de votre devoir de pratiquant de Taekwondo, ou d’arts martiaux en général (Judo, Karaté, Aïkido), d’être dans une tenue irréprochable lors de différents événements :
- Par exemple au moment d’un passage de ceinture pour changer de grade.
- Lors d’une démonstration, cela est tout de même plus « vendeur » que d’être mal vêtu !
- Ou encore lors d’une compétition technique, là où la présentation et l’esthétisme est primordial !!
Dans tous ces cas, votre présentation fait partie de votre prestation générale.
Cet article n’a pas pour but de recenser tous les types de pliages de façon exhaustive, mais juste 3 façons courantes et usuelles pour vous aider dans votre pratique, ou plutôt, entre deux moments de pratiques 😉
Alors faites votre choix !
Lequel choisissez-vous ?